Revolusi : L'Indonésie et la naissance du monde moderne (Traduction conjointe Philippe Noble)

Traduit du NEERLANDAIS par ISABELLE ROSSELIN

À propos

Quelque dix ans après "Congo", David Van Reybrouck publie sa deuxième grande étude historique, consacrée cette fois à la saga de la décolonisation de l'Indonésie - premier pays colonisé à avoir proclamé son indépendance, le 17 août 1945. Il s'agit pour lui de comprendre l'histoire de l'émancipation des peuples non européens tout au long du siècle écoulé, et son incidence sur le monde contemporain. Fidèle à la méthode suivie dès son premier ouvrage, l'auteur se met lui-même en scène au cours de son enquête, alternant exposé de type scientifique et "reportage" à la première personne - ce qui rend la lecture de l'ouvrage à la fois aisée et passionnante.


Rayons : Sciences humaines & sociales > Sciences politiques & Politique > Politique internationale > Géopolitique / Géostratégie


  • Auteur(s)

    David Van Reybrouck

  • Traducteur

    ISABELLE ROSSELIN

  • Éditeur

    Actes Sud

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    05/02/2025

  • Collection

    Essais Et Documents

  • EAN

    9782330199968

  • Disponibilité

    À paraître

  • Nombre de pages

    896 Pages

  • Longueur

    17.6 cm

  • Largeur

    11 cm

  • Épaisseur

    3.9 cm

  • Poids

    464 g

  • Diffuseur

    Actes Sud

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

David Van Reybrouck

David Van Reybrouck est né à Bruges en 1971. Il a étudié l'archéologie et la philosophie aux universités de Louvain et de Cambridge et a un doctorat de l'université de Leyde. Il a été professeur invité à Barcelone et Paris et chercheur postdoctoral au sein du département d'histoire de l'université de Louvain. Il vit à Bruxelles. D'année en année, Van Reybrouck a sillonné l'Afrique. Il a d'ailleurs publié en mai 2010 Congo. Een geschiedenis (Une histoire du Congo), l'histoire captivante du pays le plus dévasté de l'Afrique. Loin de se contenter d'être observateur, Van Reybrouck s'est aussi investi dans l'organisation d'ateliers littéraires pour des auteurs de théâtre congolais à Kinshasa et Goma.
Son premier livre De plaag (2001, traduction Le Fléau, Actes Sud, 2008), qui tient à la fois du récit de voyage et du roman policier littéraire, plaçait déjà l'action dans l'Afrique du Sud post-apartheid. Co-éditorialiste de longue date pour le quotidien flamand De Morgen, Van Reybrouck a coédité un ouvrage sur le futur de la Belgique Waar België voor staat (Les défis de la Belgique, 2007) et un pamphlet, Pleidooi voor populisme (Un plaidoyer pour le populisme, 2008), qui a suscité quelque polémique. Ses essais et reportages ont été publiés dans différents journaux et revues : De Morgen, Knack, NRC-Handelsblad, de Volkskrant, de Groene Amsterdammer et Vrij Nederland.
David Van Reybrouck poursuit aussi une carrière d'écrivain de théâtre. ). Il a publié en janvier 2011 Mission suivi de L'Âme des termites chez Actes Sud-Papiers. Sa première pièce Die Siel van die Mier (L'âme des termites, 2004) est partie en tournée plusieurs années en Belgique et à l'étranger et a reçu le prix de Théâtre de l'Union de la langue néerlandaise en 2004 ainsi que le Prix quinquennal pour les arts de la scène décerné par l'Académie royale de langue et de littérature néerlandaises. N a été jouée au Toneelhuisen 2006 dans une mise en scène de Peter Krüger. Van Reybrouck a reçu le Arkprijs van het Vrije Woord, (le prix de l'Arche de la libre parole) le plus prestigieux prix flamand accordé chaque année à une personnalité ou organisation publique, un intellectuel, un artiste ou un écrivain. Poète,
Il contribue régulièrement à la revue littéraire Het Liegend Konijn. Il a fondé le Collectif bruxellois de poètes, une initiative plurilingue et multiculturelle (performances, vers classiques, slam et expérimentation). Fasciné par les arts visuels, Van Reybrouck a collaboré à des livres avec de grands photographes tels que Stephan Vanfleteren (Belgicum, 2007) et Carl De Keyzer (Congo (belge), 2009), ainsi que le peintre et sculpteur Koenraad Tinel (Scheisseimer, 2009).
Il a remporté fin 2010, coup sur coup, trois grands prix littéraires en Belgique

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