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C'est un endroit à l'abri du temps. Ce minuscule hameau, qu'on appelle Les Montées, est un pays à lui seul pour les jumelles Ambre et Aelis, et la vieille Rose.
Ici, l'existence n'a jamais été douce. Les familles travaillent une terre avare qui appartient à d'autres, endurent en serrant les dents l'injustice. Mais c'est ainsi depuis toujours.
Jusqu'au jour où surgit Madelaine. Une fillette affamée et sauvage, sortie des forêts. Adoptée par Les Montées, Madelaine les ravit, passionnée, courageuse, si vivante. Pourtant, il reste dans ses yeux cette petite flamme pas tout à fait droite. Une petite flamme qui fera un jour brûler le monde.
Avec Madelaine avant l'aube, Sandrine Collette questionne l'ordre des choses, sonde l'instinct de révolte, et nous offre, servie par une écriture éblouissante, une ode aux liens familiaux. -
Ce soir-là, quand Liam rentre des forêts montagneuses où il est parti chasser, il devine aussitôt qu'il s'est passé quelque chose. Son petit garçon de cinq ans, Aru, ne l'attend pas devant la maison. Dans la cour, il découvre les empreintes d'un ours. À côté, sous le corps inerte de sa femme, il trouve son fils. Vivant. Au milieu de son existence qui s'effondre, Liam a une certitude. Ce monde sauvage n'est pas fait pour un enfant. Décidé à confier son fils à d'autres que lui, il prépare un long voyage au rythme du pas des chevaux. Mais dans ces profondeurs, nul ne sait ce qui peut advenir. Encore moins un homme fou de rage et de douleur accompagné d'un enfant terrifié.
Dans la lignée de Et toujours les Forêts, Sandrine Collette plonge son lecteur au sein d'une nature aussi écrasante qu'indifférente à l'humain. Au fil de ces pages sublimes, elle interroge l'instinct paternel et le prix d'une possible renaissance.
Lauréate des prix :Renaudot des lycéens 2022Jean Giono 2022LCDL 2022, prix des lecteurs de la Librairie Le Coin des livres (Davézieux)Samantha 2022, prix des lectrices et lecteurs de la librairie L'Etagère (Saint-Malo)Finaliste du Prix des libraires 2023 « Magnifique, de concision, d'émotion brute. Entre western et variation écolo, un livre puissant qui vient questionner l'instinct paternel. » Madame Figaro « Un roman saisissant qui questionne avec maestria les rapports père/fils. » Paris Match « Somptueux. » Version Femina « Sandrine Collette raconte avec brio la puissance de la nature et la fragilité de l'amour. » Point de vue « La grande odyssée fauve de la rentrée. Superbe. » Le Point « Une chevauchée qui prend aux tripes. Magnétique. » L'Obs « Un western des temps modernes. » Le JDD « Le talent de Sandrine Collette pour dire l'enfance perdue et la beauté âpre d'une nature où l'homme ne semble pas avoir sa place. » Lire le Magazine Littéraire « Une merveille. » Femme Actuelle « Rester humain est un combat de chaque instant. » Le Figaro littéraire « On reste sidérés par la maîtrise de Sandrine Collette, aussi apte à camper la nature qu'à décrypter la complexité des relations humaines. » L'Express « Un roman qui se dévore à vif. Magistral » Le Parisien « De tous les livres de la rentrée c'est celui que j'ai dévoré d'une traite, impossible à lâcher ! Il est exceptionnel » Bernard Lehut, RTL « Un roman âpre et brutal, mais tellement beau ! » Le Parisien Week-End « Si On était des loups est un roman audacieux, il est surtout bouleversant ; il vous emmènera ailleurs, dans des contrées inconnues, là où se cache le coeur d'un homme enfin prêt à accueillir sa part d'humanité. » Le Figaro Magazine -
Corentin, personne n'en voulait. Ni son père envolé, ni les commères dont les rumeurs abreuvent le village, ni surtout sa mère, qui rêve de s'en débarrasser. Traîné de foyer en foyer, son enfance est une errance. Jusqu'au jour où sa mère l'abandonne à Augustine, l'une des vieilles du hameau. Au creux de la vallée des Forêts, ce territoire hostile où habite l'aïeule, une vie recommence.
À la grande ville où le propulsent ses études, Corentin plonge sans retenue dans les lumières et la fête permanente. Autour de lui, le monde brûle. La chaleur n'en finit pas d'assécher la terre. Les ruisseaux de son enfance ont tari depuis longtemps ; les arbres perdent leurs feuilles au mois de juin. Quelque chose se prépare. La nuit où tout implose, Corentin survit miraculeusement, caché au fond des catacombes. Revenu à la surface dans un univers dévasté, il est seul. Humains ou bêtes : il ne reste rien. Guidé par l'espoir insensé de retrouver la vieille Augustine, Corentin prend le long chemin des Forêts.
Une quête éperdue, arrachée à ses entrailles, avec pour obsession la renaissance d'un monde désert, et la certitude que rien ne s'arrête jamais complètement.Lauréate du Grand Prix RTL-Lire 2020 Lauréate du Prix de la Closerie des Lilas 2020 Lauréate du Prix du livre France Bleu Page des Libraires 2020 « Cette épopée ne s'oublie pas. » Le Figaro « Pour Sandrine Collette, l'espoir ne meurt pas tant que subsiste un souffle de vie, si chétif soit-il. » Le Monde des livres « Un roman très prenant et cinématographique » Madame Figaro « À mi-chemin entre La Route de Cormac Mc Carthy [...], et En un monde parfait, de Laura Kasischke, Sandrine Collette réussit une très belle oeuvre et trouve l'équilibre entre l'effroyable et le beau, faisant pousser la poésie au milieu de la poussière » ELLE -
Clémence a trente ans lorsque, mue par l'énergie du désespoir, elle parvient à s'extraire d'une relation toxique. Trois ans pendant lesquels elle a couru après l'amour vrai, trois ans pendant lesquels elle n'a cessé de s'éteindre.
Aujourd'hui, elle vit recluse, sans amis, sans famille, sans travail, dans une petite maison fissurée dont le jardin s'apparente à une jungle.
Comment faire pour ne pas tomber et résister minute après minute à la tentation de faire marche arrière ?
Sandrine Collette nous offre un roman viscéral sur l'obsession, servi par l'écriture brute et tendue qui la distingue.
« Après le succès colossal de Et toujours les Forêts, un portrait de femme vibrant, haletant, très réussi. » Augustin Trapenard - Boomerang, France Inter « Foudroyant d'intensité et d'émotion ! » Bernard Lehut - Les livres ont la parole, RTL « Sandrine Collette est un écrivain qui ne lâche jamais sa proie, et sa proie, c'est le lecteur. » Le Figaro « Sandrine Collette brosse le portrait bouleversant d'une femme brûlée au fer rouge. » Le Monde des Livres « Porté par un sens du récit des plus cinématographiques, le nouveau roman de l'auteure de "Et toujours les Forêts" brosse avec autant d'énergie que d'efficacité le portrait d'une femme à bout de souffle, courant après elle-même. » Madame Figaro « Il y a quelque chose d'animal, de bestial, dans l'écriture puissante de Sandrine Collette, qui nous arrache à nous-mêmes, nous happe dès les premières lignes et ne nous lâche plus.(...) Elle signe un roman fort, sombre comme la forêt où l'on court à perdre haleine. Un hymne à la résistance qui nous donne de la force à toutes. » Femme Actuelle « Un livre glaçant, révoltant, nécessaire, qui témoigne de ce qu'il faut de courage pour se reconstruire. » Le Parisien Week End -
La prison n´avait pas réussi à le briser.
Ces deux vieux retirés du monde vont-ils y parvenir ?
Avril 2001. Dans la cave d´une ferme miteuse, au creux d´une vallée isolée couverte d´une forêt noire et dense, un homme est enchaîné. Il s´appelle Theo, il a quarante ans, il a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave.
Comment Théo a-t-il basculé dans cet univers au bord de la démence ? Il n´a pourtant rien d´une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l´ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d´autres. Alors allongé contre les pierres suintantes de la cave, battu, privé d´eau et de nourriture, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d´échapper à ses geôliers.
Mais qui pourrait sortir de ce huis clos sauvage d´où toute humanité a disparu ?
Un premier roman d'une intensité stupéfiante, révélation d'un nouveau nom du thriller français Sandrine Collette est née en 1970. Elle partage sa vie entre l´université de Nanterre et son élevage de chevaux dans le Morvan. Des noeuds d´acier est son premier roman.
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Humain, animal, pour survivre ils iront au bout d'eux-mêmes. Un roman sauvage et puissant.
Dans l'obscurité dense de la forêt népalaise, Mara découvre deux très jeunes enfants ligotés à un arbre. Elle sait qu'elle ne devrait pas s'en mêler. Pourtant, elle les délivre, et fuit avec eux vers la grande ville où ils pourront se cacher.
Vingt ans plus tard, dans une autre forêt, au milieu des volcans du Kamtchatka, débarque un groupe de chasseurs. Parmi eux, Lior, une Française. Comment cette jeune femme peut-elle être aussi exaltée par la chasse, voilà un mystère que son mari, qui l'adore, n'a jamais résolu. Quand elle chasse, le regard de Lior tourne à l'étrange, son pas devient souple. Elle semble partie prenante de la nature, douée d'un flair affûté, dangereuse. Elle a quelque chose d'animal.
Cette fois, guidés par un vieil homme à la parole rare, Lior et les autres sont lancés sur les traces d'un ours. Un ours qui les a repérés, bien sûr. Et qui va entraîner Lior bien au-delà de ses limites, la forçant à affronter enfin la vérité sur elle-même.
Humain, animal, les rôles se brouillent et les idées préconçues tombent dans ce grand roman où la nature tient toute la place.
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L'eau a tout envahi. Sur un bout de terre émergée survit une famille de onze personnes. La barque qui peut les sauver ne peut en embarquer que huit.
Il y a six jours, le flanc nord du volcan s'est effondré dans l'océan, soulevant une vague monstrueuse, et tout a disparu autour de Louie, ses parents et ses huit frères et soeurs. Leur maison, perchée au sommet d'une côte escarpée, a été ravagée mais a tenu bon. Au contraire du monde alentour. À perte de vue, il n'y a plus qu'une étendue d'eau argentée. Une eau secouée de tempêtes violentes.
Depuis six jours, ils espèrent voir arriver des secours. Mais seuls des débris et des corps gonflés flottent autour de leur île.
Et l'eau continue à monter. Madie, la mère, comprend qu'il faut partir.
Pata, le père, a calculé qu'il leur faudrait douze jours de navigation sur leur barque pour atteindre les hautes terres.
Mais ils ne peuvent embarquer qu'à huit. Madie refuse de choisir parmi ses neuf enfants. Pata le fait, lui, parce qu'il sait que c'est le seul moyen de sauver sa famille : ils prendront les deux aînés, qui le relaieront pour ramer. Et les quatre petites, qui ne peuvent se passer de leur mère.
Les trois du milieu, Louie, onze ans, Perrine, neuf ans, Noé, huit ans, sont autonomes. Ils s'en sortiront. Et dès l'arrivée sur les hautes terres, Pata repartira pour guider les secours jusqu'à eux.
Le lendemain matin, Louie se réveille dans la maison désertée de tout bruit et de toute joie. Dans la cuisine, un mot des parents, dans le cellier, de la nourriture.
Voilà Louie seul responsable. Et il ne peut s'empêcher de se demander pourquoi les parents les ont-ils laissés, eux ? Parce qu'ils sont les plus débrouillards, comme ils l'ont écrit dans leur lettre ? Ou parce qu'ils sont les trois enfants ratés de la famille ? Lui, Louie, qui boite depuis une vilaine maladie d'enfance. Elle, la jolie Perrine, qui a un oeil blanc.
Et Noé, qui ne grandit pas comme les autres.
D'un côté une petite barque seule sur l'océan, de l'autre trois enfants isolés sur une île mangée par les flots. Voilà l'histoire terrifiante que Sandrine Collette a choisi de nous raconter.
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Dressé sur un sommet aride et glacé qui pourrait être dans les Alpes, un homme à la haute stature s'apprête pour la cérémonie du sacrifice. Très loin au-dessous de lui, le village entier retient son souffle en le contemplant : parviendra-t-il une fois encore à apaiser les esprits du Mal qui rôdent dans ces montagnes ?
À des kilomètres de là, partie pour trois jours de trek intense, Lou contemple les silhouettes qui marchent devant elle, ployées par l'effort. Leur cordée a l'air si fragile dans ce paysage vertigineux. On dirait six fourmis blanches.
Lou l'ignore encore, mais dès demain ils ne seront plus que cinq. Égarés par une effroyable tempête, terrifiés par la mort de leur camarade, c'est pour leur propre survie qu'ils vont devoir lutter. Car dans cette montagne sans pitié, malgré les sacrifices, le Mal n'est jamais vraiment apaisé.
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Les larmes noires sur la terre
Sandrine Collette
- Denoel
- Sueurs Froides
- 28 Février 2017
- 9782207135570
Si une seule relève la tête, alors il leur reste à toutes une chance de s'en sortir...
Il a suffi d'une fois. Une seule fois, Moe a pris la mauvaise décision, partir, quitter son île natale pour suivre un homme à Paris. Elle n'avait que 20 ans. Six ans après, hagarde, épuisée, avec pour unique trésor un nourrisson qui l'accroche à la vie, elle est amenée dans un centre d'accueil pour déshérités. Les officiels l'appellent le Haut Barrage, ses habitants l'appellent « la Casse ».
La Casse, c'est une ville de miséreux logés dans des voitures brisées et posées sur cales, des rues entières bordées d'automobiles embouties.
Chaque voiture est numérotée et attribuée à une personne. Pour Moe, ce sera la 2167, une 306 grise. Plus de sièges arrière, deux couvertures, et voilà leur logement, à elle et au petit. Les règles de la Casse sont simples : si elle veut y survivre, il faudra travailler, pour quelques euros par jour. Si elle veut la quitter, il faudra verser un droit de sortie. Treize ans de travail, calcule Moe, et encore, en ne dépensant presque rien, du lait pour l'enfant, du riz pour elle.
Et puis, au milieu de ce cauchemar, de cette dégringolade qu'a été sa vie, un coup de chance, enfin : dans sa ruelle cinq femmes, en cercle fermé, s'épaulent et affrontent ensemble la violence du quartier et la noirceur des temps. Elles vont adopter Moe et son fils. Il y a là Ada, la vieille, puissante parce qu'elle sait manier les herbes et soigne toute la Casse. Jaja, la guerrière, Poule la survivante, Marie-Thé la douce, et Nini, celle qui n'arrive pas à se résoudre à la déchéance, celle qui veut quand même être jolie, danser et boire, espérer... Celle par qui le malheur reviendra.
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Un huis-clos oppressant : une mère, ses quatre fils, au fin fond de la Patagonie Argentine, plateaux de la Patagonie. Une steppe infinie, balayée par des vents glacés. C'est là que Rafael, dix ans, grandit dans une famille haineuse. Sa mère s'est endurcie autour d'un secret qu'elle a su garder mais qui l'a dévorée de l'intérieur : une nuit, elle a tué leur ivrogne de père et a coulé son cadavre dans les marais. Depuis, elle fait croire que son mari les a abandonnés, et mène son maigre élevage de moutons et de boeufs d'une main inflexible, écrasant ses quatre garçons de sa dureté et de son indifférence. Mais depuis, aussi, les aînés détestent leur plus jeune frère, né après la disparition du père, et en ont fait la cible de leurs jeux brutaux. Alors Rafael, seul au monde, ne vit que pour son cheval et son chien. Voilà longtemps qu'il a compris combien il était inutile de quémander ailleurs un geste d'affection.
Dans ce monde qui meurt, car les petits élevages sont peu à peu remplacés par d'immenses domaines, la révolte est impossible. Et pourtant, un jour, le jour le plus sauvage et le plus douloureux de la vie de Rafael, quelque chose va changer. Le jeune garçon parviendra-t-il à faire sauter l'étau de terreur et de violence qui le condamne à cette famille ?
Avec ce roman sombre, planté dans une nature hostile et sublime, Sandrine Collette explore les relations familiales impossibles, et la rédemption, ou non, d'un petit garçon qui a gardé son humanité.
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Un frère et une soeur, parfois, c'est plus fort que tout. Alors quand Malo disparaît, Camille a la certitude qu'un malheur est arrivé. Ce matin, dans le dortoir des vendangeurs, Malo n'est plus là. Bien sûr, tous les copains disent à Camille que son frère en a eu marre des vendanges, que c'est trop dur, qu'il a dû filer avec cette jolie brune rencontrée la veille et qu'il réapparaîtra dans quelques jours, un peu confus. Mais Camille n'y croit pas.
Malo, c'est son grand frère, son point d'ancrage, celui qui lui a permis de traverser la tête haute leur enfance chahutée. Il ne serait jamais parti en la laissant dans ce petit domaine champenois, courbée sur les vignes, brûlée par le soleil, heureuse jusque-là de partager ce moment avec lui... Camille sait, elle sent qu'il s'est passé quelque chose.
Personne ne l'écoute. Sauf peut-être le maître de maison, cet original qui se tient à l'écart de tous, muré dans le silence depuis dix ans. Mais lui demander de l'aide, c'est aussi accepter d'entrer dans son univers, où les seules règles sont celles qu'il établit au gré de ses élans et de sa fureur. Camille prendra-t-elle ce risque pour retrouver son frère ? Et surtout, a-t-elle une chance de les sauver tous les deux, Malo et elle, ou le piège est-il déjà refermé ?
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L'atout senior : Relations intergénérationnelles, performance, formation
Sandrine Collette, Christian Batal, Philippe Carré, Olivier Charbonnier
- Dunod
- Fonctions De L'entreprise
- 25 Mars 2009
- 9782100526673
La France se trouve, de fait, parmi les pays de l'UE ayant les plus bas taux d'activité pour les 55-65 ans. Il y a donc risque pour le système des retraites. Comment y remédier si ce n'est en conservant dans l'emploi ces «seniors» de 55 ans et plus ? Que dire à des salariés qui sont censés travailler moins depuis les 35 heures, mais auxquels on demande aujourd'hui de travailler plus longtemps ? Comment revenir sur des logiques qui amènent les seniors à renoncer à la progression professionnelle après 50, voire 45 ans, à la formation ou qui voient leur efficacité remise en cause ? Après un état des lieux détaillé, cet ouvrage, fruit d'une étude menée sur 3 générations fournit des outils pratiques et des solutions opérationnelles permettant la mise en place d'une meilleure gestion des âges et des compétences et d'une véritable ingénierie des ressources humaines dédiée aux seniors.