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Magnard
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A paris, joss, crieur de profession, déclame pour les habitants leurs petites annonces...
Et de mystérieux messages en ancien français. pendant ce temps ; le commissaire adamsberg reçoit une jeune femme s'inquiétant de l'apparition de dessins énigmatiques sur les treize portes de son immeuble. entre ces messages et ces dessins : un, deux... puis cinq cadavres morts par strangulation et recouverts de charbon de bois. la presse s'empare de l'événement ; s'installe alors la peur de la peste noire...
Pour son septième roman, pars vite et reviens tard, fred vargas a obtenu le prix des libraires en 2002. on y retrouve les personnages en marge que la romancière affectionne, son goût pour la petite et la grande histoire, ainsi que son talent pour monter, puis démonter une énigme policière savamment construite. les élèves pourront ainsi étudier tes différents points de vue, analyser te rythme de la narration et découvrir te roman policier.
En outre, l'appareil pédagogique est suivi d'une interview exclusive de fred vargas.
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« Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ? » Ça amuse les Parisiens. Depuis quatre mois, cette phrase accompagne les cercles qui surgissent à la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs de la ville ; au centre de ces cercles, prisonniers, un débris, un déchet, un objet perdu : trombone, bougie, pince à épiler, yaourt, patte de pigeon... Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent. Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite « suintent » la cruauté. Il le sait, il le sent : bientôt, de l'anodin saugrenu on passera au tragique.
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Laisser les loups vivre en liberté dans le Mercantour, c'était une belle idée, dans l'air du temps. Mais ce n'était pas celle des bergers et, quelques mois plus tard, la révolte gronde.
Mais est-ce bien un loup qui tue les brebis autour du village de Saint-Victor ?
Les superstitions resurgissent, un bruit se propage : ce n'est pas une bête, c'est un loup-garou... Lorsqu'une éleveuse est retrouvée égorgée dans sa bergerie, la rumeur tourne à la psychose.
À Paris, le commissaire Adamsberg guette les nouvelles de la Bête du Mercantour :
Comme des tisons, mon gars, comme des tisons ça fait, les yeux du loup, la nuit.
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Un matin, la cantatrice Sophia Siméonidis découvre, dans son jardin, un arbre qu'elle ne connaît pas. Un hêtre. Qui l'a planté là ? Pourquoi ? Pierre, son mari, n'en a que faire. Mais la cantatrice, elle, s'inquiète, en perd le sommeil, finit par demander à ses voisins, trois jeunes types un peu déjantés, de creuser sous l'arbre, pour voir si... Quelques semaines plus tard, Sophia disparaît tandis qu'on découvre un cadavre calciné. Est-ce le sien ? La police enquête. Les voisins aussi. Sophia, ils l'aimaient bien. L'étrange apparition du hêtre n'en devient que plus énigmatique.
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Un tueur en série armé d'un trident refait surface alors qu'il est mort depuis 16 ans... Entre la France et le Canada, Jean-Baptiste Adamsberg doit résoudre plusieurs affaires. Et si ses enquêtes vont l'amener à se lancer à la recherche de son frère et à affronter le juge Fulgence, ennemi terrifiant de ses jeunes années dont il n'a cessé de suivre la trace, elles vont surtout le conduire à sa plus terrible épreuve : se confronter à lui-même afin de découvrir celui qu'il est vraiment...
Comme souvent chez Fred Vargas, reine du roman policier psychologique, ce récit passionnant fait la part belle aux dialogues et à l'humour. Il permettra aux élèves de découvrir les particularités du récit policier ainsi que des notions propres au texte narratif, telles que le point de vue et la temporalité.