Les Jeux olympiques sont bien davantage que du sport, mais leur essence demeure sportive. Le sport y est magnifié, ses performances encensées, ses champions héroïsés. Comment en saisir alors la place sans céder à la description lyrique ? Ce quatrième opus des Balades olympiques questionne la part du sport dans l'enceinte olympique à partir de trois regards complémentaires. Le premier interroge la victoire de deux champions - un homme et une femme - dans des contextes nationaux et géopolitiques spécifiques. Le second analyse à quelles conditions et dans quelles circonstances historiques certains sports accèdent au statut olympique. Enfin, le dernier revient sur le cas particulier des pratiques situées aux limites du programme olympique, qu'il s'agisse des sports de démonstration ou du programme additionnel.
Ce cinquième opus des Balades olympiques reflète les analyses d'un historien du sport spécialiste des politiques publiques en éducation. L'ouvrage aborde d'abord la fabrique de l'héritage immatériel des Jeux olympiques. Il s'attache ensuite à la manière dont l'institution olympique a cherché à faire sienne l'éducation sportive de la jeunesse depuis le projet éducatif inachevé de Pierre de Coubertin. Il interroge aussi la relation que l'olympisme entretient avec différents projets éducatifs connexes tels que l'éducation au genre, à la culture, à la ville ou à la paix. Plusieurs dispositifs imaginés pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 y sont par ailleurs présentés. Enfin, la réflexion s'attache à la formation aux études et recherches olympiques. Au moment où se préparent les Jeux olympiques et paralympiques de Paris, ces pérégrinations dans le temps confirment combien l'articulation entre olympisme et éducation, qui a présidé à la restauration des Jeux olympiques par Coubertin, peut générer à la fois ambitions et frustrations.
Le sport, tel que nous le concevons aujourd'hui, avec ses règles, ses techniques, ses pratiques, et ses pratiquants, ses représentations et institutions, ses records et ses valeurs, trouve sa genèse dans l'Angleterre en pleine Révolution industrielle du XVIIIe siècle. Les pratiques plus anciennes répondaient à des fonctions militaires, éducatives ou sacrées et ne sauraient être assimilées aux logiques sportives contemporaines qui oscillent entre traditions, poids du marché et enjeux politiques.
Depuis les public schools jusqu'à Zinédine Zidane, cet ouvrage retrace l'histoire du sport et montre comment l'étude de ce qui constitue une véritable culture de masse offre l'un des meilleurs miroirs de notre société.
Le sport, tel que nous le concevons aujourd'hui, avec ses règles, ses techniques, ses pratiques, et ses pratiquants, ses représentations et institutions, ses records et ses valeurs, trouve sa genèse dans l'Angleterre en pleine révolution industrielle du XVIIIe siècle. Les pratiques plus anciennes répondaient à des fonctions militaires, éducatives ou sacrées et ne sauraient être assimilées aux logiques sportives contemporaines qui oscillent entre traditions, poids du marché et enjeux politiques.
Depuis les public schools jusqu'à Zinédine Zidane, cet ouvrage retrace l'histoire du sport et montre comment l'étude de ce qui constitue une véritable culture de masse offre l'un des meilleurs miroirs de notre société.
Le sport participe à la mise en place des signes, pratiques et symboles qui dénotent une appartenance identitaire et fondent un type de relation (pouvoir, hiérarchie...) entre les sexes ou au sein de chacun des sexes. Ces mécanismes complexes ont une histoire. Le présent ouvrage, analysant la manière différenciée dont les femmes ont progressivement conquis l'institution sportive et ont su s'arranger des résistances masculines, constitue le premier volume des actes du 11e carrefour d'histoire du sport.
Voici abordés plusieurs aspects originaux du sport au Cameroun sous un angle anthropologique, historique et sociologique. A travers l'analyse des processus de transformation des traditions, de transition et de diversification des sports, comment le sport parvient-il à refléter une terre de contrastes et multi-ethnique à l'héritage aussi riche et complexe que le Cameroun ?
"La sélection de textes regroupés dans cet ouvrage interroge l'histoire des Jeux olympiques sous l'angle de la presse. À travers les exemples de Paris 1924, Los Angeles 1932, Berlin 1936 et Pékin 2008, Thierry Terret s'attache à relativiser le discours journalistique à l'aune de perspectives comparatives au niveau local, national et international. Au moment où se préparent les Jeux olympiques et paralympiques de 2024 à Paris, cette balade dans le temps rend compte du cheminement de la pensée de l'auteur sur cet événement planétaire, entre réflexion historique et action publique."
La sélection de textes regroupés dans cet ouvrage interroge l'histoire des Jeux olympiques sous un angle politique. Elle intègre des travaux sur les relations entre Jeux olympiques et politique intérieure, développe quelques pistes sur les relations internationales et interroge enfin la politique des institutions olympiques elles-mêmes. Au moment où se préparent les Jeux olympiques et paralympiques de 2024 à Paris, cette balade dans le temps rend compte du cheminement de la pensée sur cet événement planétaire, entre réflexion historique et action publique.
Le sport, tel que nous le concevons aujourd'hui, avec ses règles, ses techniques, ses pratiques, et ses pratiquants, ses représentations et institutions, ses records et ses valeurs, trouve sa génèse dans l'Angleterre en pleine Révolution industrielle du XVIIIe siècle. Les pratiques plus anciennes répondaient à des fonctions militaires, éducatives ou sacrées et ne sauraient être assimilées aux logiques sportives contemporaines qui oscillent entre traditions, poids du marché et enjeux politiques.
Depuis les public schools jusqu'à Zinédine Zidane, cet ouvrage retrace l'histoire du sport et montre comment l'étude de ce qui constitue une véritable culture de masse offre l'un des meilleurs miroirs de notre société.
Thierry Terret est professeur à l'Université Claude Bernard (Lyon I).
Le sport, tel que nous le concevons aujourd'hui, avec ses règles, ses techniques, ses pratiques, et ses pratiquants, ses représentations et institutions, ses records et ses valeurs trouve sa génèse dans l'Angleterre en pleine Révolution industrielle du XVIIIe siècle. Les pratiques plus anciennes répondaient à des fonctions militaires, éducatives ou sacrées et ne sauraient être assimilées aux logiques sportives contemporaines qui oscillent entre traditions, poids du marché et enjeux politiques. Depuis les public schools jusqu'à Zinédine Zidane, cet ouvrage retrace l'histoire du sport et montre comment l'étude de ce qui constitue une véritable culture de masse offre l'un des meilleurs miroirs de notre société. Thierry Terret est professeur à l'Université Claude Bernard (Lyon I).
La sélection de textes regroupés dans cet ouvrage interroge l'histoire des Jeux olympiques sous un angle économique. Ces travaux s'attachent notamment à la manière dont se pose la question de la rentabilité des infrastructures et des industries d'articles de sport dans des conjonctures économiques aussi différentes que les années 1920, les années 1960 ou les années 1990. Au moment où se préparent les Jeux olympiques et paralympiques de 2024 à Paris, cette balade dans le temps rend compte d'une réflexion sur cet évènement planétaire, entre analyse historique et action publique.
Quand la Fédération Française de Natation et de Sauvetage voit le jour en 1920, tout est à faire pour ses responsables : lutter contre les structures dissidentes, banaliser les espaces et revendiquer la construction de piscines adaptées, normaliser les pratiques en supprimant du registre sportif les épreuves qui échappent manifestement trop aux logiques fédérales, uniformiser les méthodes d'apprentissage et d'entraînement, bref, faire de la natation un véritable sport.
Mais dans ses processus de régulation, l'institution n'oublie-t-elle pas les premiers intéressés : les nageurs ? Cette analyse historique fournit un exemple passionnant des mécanismes de " sportivisation " d'une pratique, mais aussi plus largement des relations complexes qui animent les acteurs et les fédérations dans le système sportif au moment où, précisément, la trajectoire du sport connaît de nouveaux rebondissements et de nouvelles conditions de développement.
le sport, tel que nous le concevons aujourd'hui, avec ses règles, ses techniques, ses pratiques, et ses pratiquants, ses représentations et institutions, ses records et ses valeurs, trouve sa génère dans l'angleterre en pleine révolution industrielle du xviiie siècle.
les pratiques plus anciennes répondaient à des fonctions militaires, éducatives ou sacrées et ne sauraient être assimilées aux logiques sportives contemporaines qui oscillent entre traditions, poids du marché et enjeux politiques. depuis les public schools jusqu'à zinédine zidane, cet ouvrage retrace l'histoire du sport et montre comment l'étude de ce qui constitue une véritable culture de masse offre un des meilleurs miroirs de notre société.
Du 22 juin au 6 juillet 1919, soit sept mois après la signature de l'Armistice mais au moment même où un accord permet enfin la rédaction du Traité de Versailles, se déroule à Paris la première renconte sportive internationale de l'après-guerre : les Jeux interalliés. Au terme d'un parcours l'ayant amené dans de nombreux pays impliqués dasn l'événement, l'auteur réunit ici une documentation souvent surprenante qui bouscule les idées reçues sur les relations entre sport, guerre et relations intrenationales.
Le sport possède cet extraordinaire capacité à refléter les processus les plus manifestes d'universalisation et de mondialisation, et à servir contradictoirement de véhicule pour les identités locales et régionales. Une équipe pluridisciplinaire décrit et analyse comment un quartier, une ville, une région, mais aussi une équipe, un stade ou une compétition peuvent traduire des enjeux identitaires. Au fil des exemples on voit le sport subir ou renforcer des marquages locaux plus ou moins prononcés selon les lieux et les époques.
Ces contributions s'attachent à montrer la pertinence de la géopolitique pour comprendre l'histoire du sport, en tissant un cadre explicatif qui, du local à l'international et du politique au culturel, témoigne de la richesse de ces approches. Trois regards complémentaires en posent les bornes : celui des enjeux culturels et politiques qui traversent les insitutions et manifestations sportives ; celui des identités locales, régionales et nationales ; celui, enfin, de la diplomatie sportive.
Cet ouvrage, qui célèbre le thème annuel choisi par la maison Hermès pour 2013, aborde pour la première fois la photographie de Jacques Henri Lartigue sous l'angle exclusif, mais foisonnant, du sport. Témoin passionné de son émergence au cours des trente premières années du xxe siècle, et lui-même adepte fervent de toutes ses disciplines, Jacques Henri Lartigue a saisi de manière inoubliable, dans son «piège à oeil», le plaisir fou du jeu, l'élégance des attitudes, l'ivresse et la légèreté des corps en mouvement, l'inépuisable inventivité technique, gestuelle et vestimentaire de ces nouvelles pratiques du corps, qui ont aussi profondément transformé les relations sociales entre les hommes, les femmes et les enfants.
Les cinq axes autour desquels s'organisent les images - «Le sportsman», «S'oxygéner», «Les entraînements», «Les femmes et les enfants», «Le sport spectacle/le spectacle du sport» - permettent à l'historien Thierry Terret de révéler la richesse de cette approche singulière de l'oeuvre du photographe. Ainsi, au fil du texte, il répond aux questions passionnantes liées à l'avènement du sport comme pratique moderne, elle-même devenue peu à peu réalité sociale majeure.
Enfin, la romancière Anne-Marie Garat - dont on sait le rôle que la photographie, notamment familiale, joue dans son univers narratif - a bien voulu porter son regard sur cet ensemble. Elle en dégage, dans une préface aussi instruite qu'inspirée, toute la force esthétique et émotionnelle, soulignant la part prise par le sport dans le développement de l'art photographique lui-même.
Le sport participe à la mise en place des signes, pratiques et symboles qui dénotent une appartenance identitaire et fondent un type de relation (pouvoir, hiérarchie...) entre les sexes ou au sein de chacun des sexes. Ces mécanismes complexes ont une histoire. Le présent ouvrage, qui aborde les multiples relais, véhicules et détails qui, dans le monde du sport ou s'en inspirant, contribuent à renforcer ou perpétuer les normes du genre, constitue le quatrième et dernier volume des actes du 11e carrefour d'histoire du sport.
Ce premier tome regroupe pas moins de 13 auteurs et co-auteurs et 5 témoignages d'acteurs et auteurs ayant travaillé sur deux des six chantiers principaux de l'oeuvre de Pierre Arnaud. Ces contributions permettent de mieux discuter l'héritage des travaux de Pierre Arnaud quant à l'histoire de l'éducation physique et sportive en tant que discipline d'enseignement mais aussi à l'histoire du sport scolaire.
A la suite du premier volume-hommage consacré à l'apport de Pierre Arnaud à l'histoire de l'éducation physique et sportive, ce second recueil s'attache à l'histoire du sport proprement dite. Quatre axes l'organisent, qui constituent autant d'occasions pour divers auteurs et chercheurs inspirés par l'historien lyonnais ou ayant collaboré avec lui de revenir sur son héritage.